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Replongez dans l’univers
des précédentes expositions du musée du Colombier

DU 20 OCTOBRE 2023 AU 28 JANVIER 2024

ÉNIGMATIQUES ROCHES GRAVÉES
DES CÉVENNES

En parcourant les Cévennes depuis plus d’un siècle, les chercheurs ont révélé les preuves matérielles des passages et de l’occupation de l’Homme. Parmi leurs découvertes : des pétroglyphes, rochers gravés retrouvés sur les reliefs de la montagne cévenole, précieux témoins au même titre que les nombreux vestiges de menhirs, sépultures en dolmens ou coffres et chemins antiques. Depuis plus de dix ans, les prospecteurs du Groupe Alésien de Recherche Archéologique (GARA) font l’inventaire de ces milliers de gravures, avec l’autorisation du Service Régional de l’Archéologie (SRA), valorisant ainsi le potentiel archéologique cévenol au carrefour du Gard, de l’Ardèche et de la Lozère.

DU 19 AVRIL AU 19 SEPTEMBRE 2023

LE MYSTÈRE DE LA DAME AU MASQUE

Après le succès l’an dernier du Safari au musée, le choix de proposer un nouveau jeu familial au Musée du Colombier était une évidence. Apprendre à regarder les objets, chercher dans les vitrines, découvrir ce qu’un cartel peut apporter comme information, s’amuser en famille, voici les promesses de ce jeu sur les 3 étages du musée.
Le jeu est dans tout le musée. Des indices sont au rez- de-chaussée en Archéologie, d’autres au 1er étage Beaux-arts et au dernier étage 4 tableaux donnant les clés sont accrochés. Il faut donc passer se promener d’un niveau à l’autre.

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DU 10 JUIN AU 6 NOVEMBRE 2022

SAFARI au musée

Avez-vous déjà rencontré l’hyène, le chameau, le perroquet qui habitent le Musée du Colombier ? Plus de 30 animaux se cachent dans les collections archéologiques et de beaux-arts du musée. Chacun a son histoire, qu’il soit décoratif, symbolique, associé à une légende, extrait de son cadre naturel, ou transformé par l’homme.
Venez écouter, chercher, regarder et jouer cet été. C’est l’ensauvagement du musée !

DU 17 SEPTEMBRE AU 7 NOVEMBRE 2021

Fabcaro ou la Zaï Zaï Zaï Zaï attitude

Cette exposition, dans le cadre du festival de cinéma d’Alès itinérances, explore la partie la plus autobiographique du travail de Fabcaro, de ses débuts à la consécration avec le succès du fameux « Zaï Zaï Zaï Zaï » paru chez 6 Pieds sous terre. Porté par une trame narrative venant commenter les planches originales, Fabrice Erre, commissaire et camarade, décortique le travail, le talent mais aussi la personnalité de Fabrice Caro.

DU 2 DÉCEMBRE 2019 AU 2 FÉVRIER 2020

PIERRE CHAPON, La mine sur le vif

À l’occasion de la Sainte Barbe, le musée du Colombier met à l’honneur les œuvres de Pierre Chapon données à la ville d’Alès en 2006, ensemble unique qui retrace l’histoire minière particulièrement dans le bassin alésien. Ses peintures témoignent des tâches, des lieux, des machines mais aussi de cette sociabilité si particulière aux mines. La cinquantaine de tableaux salue la mémoire de ceux dont le métier était fait « de fraternité, de courage et d’abnégation ».
Mineur de jour, Pierre Chapon (1920-2010) devient employé administratif aux Houillères des Cévennes d’Alès. Il pratique depuis son plus jeune âge le dessin et se consacre en 1978 entièrement à la peinture.

DU 18 MAI AU 22 SEPTEMBRE 2019

La Maison Bonfils, une aventure photographique entre Cévennes et Moyen-Orient

Présentes dans de nombreuses collections françaises et américaines, les photographies de la Maison Bonfils constituent l’une des plus importantes productions photographiques consacrées au Moyen-Orient au XIXe siècle. Cette exposition constitue la première exposition monographique consacrée à une famille où mari, femme et fils sont photographes.
En 1867, Félix Bonfils (1831-1885), photographe des Cévennes, choisit avec sa famille de s’installer à Beyrouth. Il sillonne alors la Grèce, l’Égypte, la Palestine, la Syrie, le Liban, afin de capter et de commercialiser des « vues de tout l’Orient » destinées aux touristes. Au sein des images orientalistes, ses vues des pyramides, du Parthénon ou des ruelles de Damas se distinguent par leur sens du cadrage et leur humour, Bonfils n’hésitant pas à apparaître déguisé ou à truquer ses images. À Beyrouth, sa femme photographie elle-même des personnes en tenue traditionnelle dans le studio, devenant par là l’une des toutes premières femmes photographes en Orient. À la fin du XIXe siècle, leur fils Adrien perpétue l’entreprise et l’ouvre à la modernité, en y ajoutant la couleur et permettant sa diffusion dans la presse via des cartes postales.

DU 18 MAI AU 22 SEPTEMBRE 2019

TOUJOURS PARÉ.E.S, de Néandertal aux romains

Aujourd’hui, les plus anciennes parures connues sont datées de plus de 100 000 ans. Le bijou représente ainsi un des plus anciens objets de l’humanité, toujours usité. Il est alors particulièrement intéressant d’utiliser ces objets pour mieux comprendre l’évolution des sociétés humaines, des premières perles paléolithiques aux bagues romaines.
L’intemporalité du bijou se traduit par une permanence des types, des formes, nous replongeant ainsi dans un passé lointain mais devenant accessible, comparable. Dans le même temps, la parure, en tant qu’objet archéologique, est un support pour apprendre et comprendre ces sociétés anciennes et voir en miroir les grandes transformations sociales qui ont fondées notre monde actuel.

DU 8 JUIN AU 4 NOVEMBRE 2018

Trésors du Pérou, de Chavin aux Incas

les plus belles céramiques du musée des Jacobins d’Auch

Pour le plus grand plaisir des voyageurs et des amoureux des cultures amérindiennes, voilà une exposition qui restera dans les mémoires ! Le musée du Colombier est fier de présenter les plus belles et prestigieuses céramiques péruviennes du musée des Jacobins d’Auch qui possède la deuxième collection de France en la matière après le musée du Quai Branly à Paris. Les civilisations préhispaniques andines sont nombreuses : les Chavíns, les Paracas, les Nascas, les Mochicas, les Chimús ont précédé les Incas. La tradition céramique de ces cultures est riche, variée et étonnante. Venez découvrir en famille au musée du Colombier cet été et cet automne un art porté au sommet de la perfection.

DU 1er MARS AU 21 MAI 2018

L’ŒIL de l’écrivain, Photographies de Joseph Zobel

Parallèlement à la diffusion de Rue Cases-Nègres d’Euzhan Palcy pendant le festival de cinéma Itinérances, l’exposition des œuvres photographiques de Joseph Zobel auteur du roman dont est adapté le film, donne à voir un autre talent de l’écrivain. On ne connaissait pas son travail de photographe avant que Charlotte, sa petite fille, elle-même photographe, ne tombe sur une boîte de vieux négatifs photo.
Ces photographies dévoilent alors le passé de cet homme qui a quitté la Martinique pour rejoindre la métropole après la Seconde Guerre mondiale. Portraits, scènes quotidiennes ou de famille, paysages reflètent le regard que portait Joseph Zobel sur le monde.

Pour les expositions plus anciennes, visitez la page Ressources en ligne.